Une équipe soudée et ultra performante

Notre manière collective de concevoir les projets nous entraîne à préserver un esprit de troupe malgré les difficulté accrues, en fidélisant les équipes et en évitant les éparpillements. Les artistes associés à la compagnie ont participé à plusieurs créations du Crik, et ont une démarche pédagogique dans le domaine du travail du clown ou du théâtre de texte. Par l’organisation de stages de travail en interne ou dans le cadre de la formation professionnelle, nous cherchons à faire de nouvelles rencontres pour bien grandir.

Jean François

Jean François Maurier

Il quitte l’éducation nationale et ses estrades pour les planches des théâtres en 1984 et rejoint le Théâtre des Petite Fugues dirigé par Dominique POMPOUGNAC. Au sein de cette compagnie il joue pour le jeune public dans plusieurs spectacles et fait ses 1ers pas de metteur en scène avec successivement Papier concert, Marco et Polo, Quintêtes, Venus et Adonis de Shakespeare et Pince mi, pince moi.

Ensuite il abandonne le jeune public pour le vieux et fait le comédien avec notamment Nadine VAROUTSIKOS, Pierre VIAL, Hubert JAPPELLE, Vincent COLIN, Dominique LURCEL, Marie CHAVELET, Violaine BREBION et même le danseur sous la direction de Marie-Laure GILBERTON.

EN 1995 désireux de monter ses propres projets, il fonde sa compagnie, Le Crik, et crée successivement Vie d’artistes, Les objets sont-ils ?, Fin de patrie, Complément d’objets, Un p’tit jardin sus l’ventre, C’est une fille ! Rêve Général et je vous embarrasse très fort.

Pour des raisons tout à fait indépendantes de sa volonté, le Crik est dissout en 2012. Comme il estime qu’il a encore des choses à dire et qu’il a peur de s’ennuyer, il fonde le Klou en 2013. Avec le Klou il crée en 2013 on s’en fout qu’ça soit beau et les acharnistes en 2018. 

 Depuis 1993 il dirige ateliers et stages sur le clown de théâtre en direction des amateurs ou des professionnels. Lieux d’intervention : Maison du Théâtre et de la Danse d’Epinay sur Seine, Université de Turin, ARC scène Nationale du Creusot, Centre Culturel de Taverny, théâtre de l’Usine d’Eragny-sur-Oise, entreprises (le Parisien, IGN), écoles, collèges lycées du val d’Oise, formation BPJEPS. Il a également dirigé plusieurs ateliers de formation de l’acteur autour des textes du répertoire en direction des amateurs. Pratique le violon Irlandais en cachette. Il vaut mieux.

Rafael

Rafael Batonnet

C’est en prenant conscience du rapport filles/garçons dans les ateliers théâtres du collège et du lycée (environ deux garçons pour dix filles), que Rafael se passionne pour l’art dramatique. Ses études menées parallèlement à sa découverte du sexe opposé le mèneront en licence de lettre et civilisations espagnoles, ce qui lui fait une belle jambe aujourd’hui que le voilà comédien. Il participe en 1995 à la création de la compagnie de théâtre de rue Les Matatchines au sein de laquelle il travaille comme échassier, jongleur et clown. Peu de temps après sa sortie du conservatoire en 1999, parce que bon quand-même il est allé au conservatoire, il faut c’qu’il faut, Rafael profite de sa position de chouchou du prof d’art dramatique, Hubert Jappelle, et il intègre sa compagnie ni vu ni connu. Il participe à ses côtés à une quinzaine de créations depuis lors : de l’Atelier de Grumberg à l’Ecole des Femmes de Molière en passant par La Station Champbaudet de Labiche ou la P… Respectueuse de Sartre, et plus récemment la Controverse de Valladolid de JC Carriére ou Les Justes de Camus. Parallèlement à son aventure au sein du Théâtre de l’Usine d’Hubert Jappelle, Rafael intègre en 2004 le CRIK puis le KLOU auprès de Jean-François Maurier avec qui il crée Fin de Patrie, Rêve Général et On s’en fout qu’ça soit beau et les Acharnistes. En plus de sa carrière de comédien, Rafael enseigne également le théâtre depuis 1996 en milieu scolaire auprès d’enfants de la maternelle au collège. Il est aussi entraîneur au club d’aviron pas loin de chez lui, alors évidemment c‘est pas forcément pertinent là tout de suite tout de suite mais c’est pour dire…

Sandrine

 Sandrine Baumajs

Sandrine BAUMAJS, 44 ans « mais qui ne fait pas son âge ! », a enfoncé le Klou en 2012 pour On s’en fout qu’ça soit beau  ; pour rester d’équerre, elle trouve son équilibre dans les nombreux rôles de composition qu’elle interprète : Le Comte dans Il faut qu’une porte soit ouverte ou fermée, La Vabontrain dans le Ventre de Shakespeare, Lance dans Les deux Gentilshommes de Vérone (Théâtre du Voyageur, Chantal Melior) ; Sméraldina dans Bande et Sarabande, Marguerite dans Faust (Théâtre Alcyon, Patrick Melior) ; Madame dans Les Bonnes (Théâtre du Tricorne, A. Bernard-Brunel) ; Madame Folavoine dans On purge Bébé (Théâtre de La Clairière, Pierre Louis) ; Komachi dans Les 5 Nôs Modernes (Cie Songes Mécaniques, théâtre et nouvelles technologies, Ludovic Fouquet).

Elle bidouille dans son atelier théâtre avec ses élèves d’Asnières depuis 10 ans, mène des projets artistiques en milieu scolaire. Elle a été chef de chantier pour des mises en scène de spectacles poétiques lors des évènements Lire en fête et Le Printemps des poètes.

 

test avatarDominique Chauvin

Même si elle ne fait pas partie de l’équipe de création à proprement parler, elle nous suit avec une telle fidélité et parvient à fixer quelques instants rares et magiques avec tant de finesse, qu’elle mérite amplement sa place dans cette présentation. Nous n’avons que cette photo d’elle (voir l’onglet cordonnier mal chaussé) , par contre, des belles photos prises par elle, il y en pas mal dans ce site.